Une semaine après son lancement de saison raté à Marseille, le Stade de Reims a de nouveau chuté ce dimanche après-midi à Delaune. Après une première mi-temps prometteuse, les Rémois ont totalement perdu le fil face à des Clermontois opportunistes. De quoi s’offrir quelques maux de tête.

Il y a des scénarios de match qui laissent des traces. Celui entre le Stade de Reims et Clermont pourrait bien en faire partie. Et pour cause. Après 45 minutes globalement positives, les Rémois ont totalement éteint la lumière ensuite, perdus après l’exclusion d’un des leurs. De quoi s’interroger sur la force mentale d’une équipe jeune et encore peu expérimentée.

Les intentions étaient pourtant prometteuses. Dès les premières secondes, Mitchell Van Bergen trouvait la profondeur côté droit et centrait instantanément, sans réussite. Des velléités toutefois gâchées par un déchet technique qui offrait un spectacle peu enthousiasmant. La lumière est finalement venue d’un homme. Déjà buteur à Marseille, Folarin Balogun créait plusieurs fois le danger. Sur une de ses percussions dans la surface, le jeune attaquant anglais est retenu par le maillot. L’arbitre Johan Hamel indique logiquement le point de penalty. Une offrande transformée par le jeune Kamory Doumbia.

En avance au score, les Rémois poursuivent leurs efforts avec plus de confiance. Balogun, encore lui, est dans tous les bons coups. Inspiré, il talonne pour Doumbia dont la reprise est bloquée par la main de Yohan Magnin dans la surface. Cette fois, Balogun se charge de l’exécution du penalty pour offrir deux buts d’avance aux Rémois à la pause. Et l’écart aurait pu être plus large si le gardien clermontois n’avait pas réalisé quelques arrêts décisifs.

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